- EAN13
- 9782283031131
- ISBN
- 978-2-283-03113-1
- Éditeur
- Buchet-Chastel
- Date de publication
- 11/01/2018
- Collection
- Musique
- Nombre de pages
- 480
- Dimensions
- 24 x 16,5 x 2,9 cm
- Poids
- 884 g
- Langue
- français
- Fiches UNIMARC
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Après Les Cantates de Jean-Sébastien Bach (Fayard,
2010) et J. S. Bach, Passions, Messes et Motets, (Fayard,
2011) le présent volume, consacré à la musique instrumentale,
vient ainsi clore la série d’analyses de Gilles Cantagrel sur la musique de Jean-Sébastien Bach.
Admirable connaisseur des outils de la musique, Jean-Sébastien Bach a manifesté envers leurs ressources sonores et expressives une acuité auditive exceptionnelle. Il s’entendait parfaitement à la construction des orgues. Il dialoguait avec les facteurs et les luthiers. Il maîtrisait à merveille le jeu de la plupart des instruments. Au fil de ses oeuvres,
il utilisa le patrimoine hérité du passé comme les découvertes les plus neuves. Orchestrateur extraordinaire, le paradoxe de son génie veut que son discours musical atteigne à une puissance telle qu’il puisse en
arriver à se détacher de toute incarnation instrumentale.
Après une introduction générale, le coeur de l’ouvrage se découpe de la façon suivante : les oeuvres pour orgue, les oeuvres pour clavecin, les oeuvres pour instrument seul (luth, violon, violoncelle, flûte), la musique de chambre, la musique concertante et pour ensemble, les canons.
Trois index complètent l’ouvrage : un index des noms cités, des oeuvres par numéro de BWV, et des oeuvres par nom.
2010) et J. S. Bach, Passions, Messes et Motets, (Fayard,
2011) le présent volume, consacré à la musique instrumentale,
vient ainsi clore la série d’analyses de Gilles Cantagrel sur la musique de Jean-Sébastien Bach.
Admirable connaisseur des outils de la musique, Jean-Sébastien Bach a manifesté envers leurs ressources sonores et expressives une acuité auditive exceptionnelle. Il s’entendait parfaitement à la construction des orgues. Il dialoguait avec les facteurs et les luthiers. Il maîtrisait à merveille le jeu de la plupart des instruments. Au fil de ses oeuvres,
il utilisa le patrimoine hérité du passé comme les découvertes les plus neuves. Orchestrateur extraordinaire, le paradoxe de son génie veut que son discours musical atteigne à une puissance telle qu’il puisse en
arriver à se détacher de toute incarnation instrumentale.
Après une introduction générale, le coeur de l’ouvrage se découpe de la façon suivante : les oeuvres pour orgue, les oeuvres pour clavecin, les oeuvres pour instrument seul (luth, violon, violoncelle, flûte), la musique de chambre, la musique concertante et pour ensemble, les canons.
Trois index complètent l’ouvrage : un index des noms cités, des oeuvres par numéro de BWV, et des oeuvres par nom.
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